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02 mai 2020

Première visite d'Ingrid au Mexique

To go with the flow...





Pendant les années vécues au temple (voir précèdent chapitre), je m'en allais environ deux mois par année pour rentrer en Suisse pour visiter la famille et les amis et en Inde, pour y faire les nouvelles confections de vêtements de ma petite marque ISHWARA Boutique.

Je suis aussi partie en vacances, notamment au Mexique où ma chère amie Ingrid est venue me rejoindre. Voici donc le récit de notre premier séjour (car il y en a deux de plus depuis!), qui a commencé à Tulum, au Yucatan. 

During the years lived in the temple (see previous chapter), I went away about two months per year to return to Switzerland and to India, and make new clothes for my little brand ISHWARA Boutique.

I also went on vacation, notably to Mexico where my dear friend Ingrid came to meet. Here is the story of our first stay (because there are two more since!), which began in Tulum, Yucatan.





Tulum a l'époque était un rêve avec ses ruines donnant sur des belles eaux turquoises et la jungle pas loin, avec son lot d'animaux sauvages...

Tulum at the time was a dream with its ruins overlooking beautiful turquoise waters and the nearby jungle, with its share of wild animals...




et le superbe geai du Yucatan


Nous y étions hors saison, au mois de mai, il y avait donc très peu de touristes. 

Nous avions loué une chambre super sympa avec grande terrasse dans un hôtel quasi désert. Nous ne donnions pas sur la plage car les prix des "éco-hôtels" s'y trouvant sont vraiment trop élevés. 

We were there out of season, in May, so there were very few tourists.

We had rented a super nice room with a large terrace in an almost deserted hotel. We did not overlook the beach because the prices of the "eco-hotels" there are really too high.








Je mets éco-hôtels en parenthèses, car ils sont loin d'être écolos. Si leur aspect est en général très soigné, et, en effet, principalement bâtis avec des matériaux naturels, l'envers du décor est moins "joli-joli". La clientèle visée sont les boho chics (très friqués).

I put eco-hotels in brackets, because they are far from being eco-friendly. If their appearance is generally very neat, and, in fact, mainly built with natural materials, the other side of the decor is less "pretty-pretty". The target clientele are boho chic (very frisky).






Les aménagements décoratifs m'auront tout de même inspirée 😁


La plupart d'entre eux n'ont rien aménagé pour la récupération des eaux usées et tout s'en va dans la nappe phréatique... La Costa Maya est très connue pour ses cenotes, ces sortes de puits naturels, façonnés suite à un effondrement de sol calcaire et situés au-dessus d'un réseau de rivières. Il y a encore 20 ans, les rivières souterraines étaient extrêmement claires, depuis le cenote, parfois situé profondément à l'intérieur des terres, jusqu'à la mer. 
Depuis le tourisme de masse, elles sont devenues polluées, la visibilité y est devenue très mauvaise, de la mer jusqu'au puit naturel... C'est désolant...
Sur cette longue frange de plage, gorgées d'hôtels se succédant, il n'y avait pas d'électricité. Et alors chaque resort a sa génératrice qui pétarade dès la nuit tombée... 

Je trouve affligeant de se qualifier de business écolo quand c'est loin d'être le cas. C'est hypocrite. Si on prend, la moindre des choses est de rendre un peu au lieu non?!  Au moins en respectant les bases, mais il est clair que ce n'est pas le but à Tulum...

Bref...

Nous profitons de la mer, malgré un vent fort qui ne tombera quasi pas du séjour. Et c'est sûr,  le sable poudreux et blanc, avec les palmiers plantés en bordure de plage, les bleus vibrants de la mer de Caraïbes sont appréciés.

Most of them have not developed anything for the recovery of wastewater and everything goes into the water table... The Costa Maya is well known for its cenotes, these kinds of natural wells, formed after a calcareous soil collapsed and located above a network of rivers. Until 20 years ago, the underground rivers were extremely clear, from the cenote, sometimes located deep inland, to the sea.
Since mass tourism, they have become polluted, visibility has become very bad, from the sea to the natural well... It's sad...
On this long stretch of beach, full of successive hotels, there was no electricity. And then each resort has its own generator which backfires as soon as night falls...

I find it distressing to call oneself a green business when it is far from being the case. It's hypocritical. If we take from one place, the least we can do is give back a little instead, right?! At least respecting the basics, but clearly that's not the goal in Tulum...

We take advantage of the sea, despite a strong wind which will hardly fall during the stay. And sure enough, the powdery white sand, with the palm trees planted along the beach, the vibrant blues of the Caribbean Sea are appreciated.



la côte et ses pélicans



La plage est à 3km environ du centre-ville. Nous avons marché et fait du stop pour nous y rendre car sous un soleil de plomb, c'était plutôt pénible de s'y traîner sinon. En ville, il y a myriade de boutiques, cafés et bars à glaces. La décoration est très inspirée, avec en tête les cadaveros, qu'on adore évidemment et des couleurs partout.

The beach is about 3km from the town centre. We walked and hitchhiked to get there because under the blazing sun, it was rather painful to drag ourselves there otherwise. In town, there are myriad of shops, cafes and ice cream bars. The decoration is very inspired, with cadaveros, which we obviously love, and colors everywhere.









Nous visitons les ruines de l'ancienne cité Maya qui surplombent la mer. La grande majorité des vestiges que l'on peut voir datent d'après 1200. Une étude menée sur certaines fresques nous apprend qu'il y avait également une influence Mixtèque. La majorité des monuments ont eu des fonctions cérémonielles (tombes, autels, temples etc.)

Au-delà de l' emplacement magnifique, il était également stratégique. Apparemment ce site aurait été placé à cet endroit précis pour être un lieu inévitable, que ce soit pour les routes commerciales avec les autres cités de la région ou encore l'exploitation des ressources maritimes, grâce à son port de pêche. Le Dieu plongeur y été vénéré et pendant longtemps  encore après l'abandon de la cité, les villageois venaient y faire leurs offrandes. 

La cité était encore habitée par le peuple maya jusqu'au 15ème siècle, avant d'être abandonnée. 

We visit the ruins of the ancient Maya city overlooking the sea. The vast majority of the remains that can be seen date from after 1200. A study carried out on certain frescoes tells us that there was also a Mixtec influence. The majority of the monuments had ceremonial functions (tombs, altars, temples etc.)

Beyond the magnificent location, it was also strategic. Apparently this site would have been placed at this precise location to be an inevitable place, whether for trade routes with other cities in the region or the exploitation of maritime resources, thanks to its fishing port. The Diving God was venerated there and for a long time after the abandonment of the city, the villagers came to make their offerings there.

The city was still inhabited by the Mayan people until the 15th century, before being abandoned.










Nous finissons par quitter Tulum pour nous rendre quelques jours à Isla de Mujeres, cette petite île en face de Cancun. Elle n'a pas grande personnalité avec son quartier très touristique mais il fait bon s'y reposer face à une mer lisse et incroyablement claire.






Le Mexique sait nous ravir avec son art coloré visible partout, même sur les murs.

Mexico knows how to delight us with its colorful art visible everywhere, even on the walls.
 







Le temps des vacances touche bientôt à sa fin. Nous passons les deux dernières journées à Cancun/Babylone. Cancun est un haut lieu touristique de masse avec cette longue plage, certes sublime, quand on regarde la mer, et bordée d'hôtels qui n'en finissent pas sur 10kms de long. Les resrots n'ont pas de charme, ce sont de gros machins aux 1000 chambres qui font de l'ombre dès 16h tant ils sont hauts, d'où son surnom Babylone...

Néanmoins.... lorsque l'on se trouve dans une de ces chambres, en hauteur, ça prend tout son sens! 
(il ne faut juste pas regarder sur les côtés 😄) 
Les bleus ne cessent de changer au fil des heures, on ne s'en lasse pas!
Voilà la vue que l'on a depuis notre studio.... Et franchement... ça le fait! 

Vacation time is coming to an end soon. We spend the last two days in Cancun/Babylon. Cancun is a major mass tourist destination with this long beach, certainly sublime (when you look at the sea), and lined with hotels that never end over 10kms long. The resorts have no charm, they are big things with 1000 rooms that shade the beach from 4 p.m. they are so high, hence its nickname Babylon...

Nevertheless .... when you are in one of these rooms, in height, it makes sense! (just don't look at the sides 😄)
The blues keep changing over the hours, we never get tired of it!
This is the view we have from our studio.... And frankly... it works for me!







14 avril 2015

Mexico con la familia!

To go with the flow...



Bienvenue à tous sur le blog! Depuis le temps...

C'est avec grand plaisir que je reprends la route et la plume pour partager avec vous les pérégrinations d'une nomade. Nous allons donc remonter quelques années en arrière et partir voyager pour les prochains chapitres au Mexique, en Suisse, France, Portugal et Inde. Moi je dis, par les temps qui courent, ça ne peut pas faire de mal...


Une fois de plus, je fais donc appel à votre sens de l'adaptation et vous propose de rejoindre le lac Atitlan, tôt ce matin d'avril 2015, alors que je quitte San Marcos la Laguna, devenu "mon bled", depuis un an et demi! (je sais?!!). Quel bon timing, je pars juste avant la Semana santa, Pâques, l'évènement religieux le plus fêté ici... Cela veut dire pétarades de feux d'artifices avec le son mais sans les motifs colorés qui font rêver dans le ciel, non, juste du bruit, tout un tintamarre de détonations qui rappellent la guerre.


Je suis en route cette fois-ci pour le Mexique, où ma famille me rejoint pour les vacances pascales. Je suis excitée comme une puce car cela fait déjà 17 mois que l'on ne s'est pas vus! Nous allons louer une maison sur la côte Yucatan, un état situé à l' est du Mexique, faisant face aux Caraïbes. Cela devrait être pas mal... 


Pour cela, il faut d'abord rejoindre la Costa Maya... J’ai opté pour un ticket en mini-van collectif qui me mènera directement à l’aéroport de la "Ciudad". 

Enfin… directement... pas tout-à-fait... évidemment... :


Il faut d'abord se faire repérer sur la place du village, je vous l'assure, pas si grande que cela, par le chauffeur de tuktuk, envoyé par le mini-van, qui ne viendra pas comme prévu me chercher au bled, mais me repêchera éventuellement sur la bas côté de la route, à San Pablo, le village suivant... Vous suivez?


Je repère facilement le tuktuk-hombre qui appelle "Sonia, Sonia" à chaque touriste qui passe. Après avoir à peine eu le temps de dire au revoir, me voilà maintenant ballottée entre les cahots et la poussière qu'est la route de San Marcos. Je suis délivrée comme prévu, à San Pablo, tel un paquet sur le trottoir.


Commence alors l'attente.... Avec les quarts d'heure avançant, cela se  transforme gentiment en questionnement, pas encore complètement anxieux: ''M'auraient-ils oubliée? ''

Le mini-van part de San Pedro et dois me choper au passage mais l'heure tourne, l'avion prêt à décoller se rapproche... Je tâche de prendre un air détendu, d'appliquer, finalement, les principes de Taiji consistant à se relaxer et aller avec ce flow,  en priant quand même que ce p"*%& de mini-van n’arrive.... 


Et comme souvent (car cela n'est pas la première fois, ça aide à relativiser), le véhicule finit par apparaître, suivi d'un nuage noir à chaque accélération du chauffeur, appuyé d'un concert de klaxon. Au moins, je ne saurais pas le louper...


Enfin en route, je respire mais la circulation est dense, le flow lent. Je manque m'égosiller intérieurement lorsque je vois notre convoi quitter la route principale pour s'enfiler en direction de la cuvette où se niche Antigua. Il nous faut déposer des gens au passage, s'arrêter devant l'agence de voyage, attendre là, puis récupérer d'autres passagers à leur hôtel respectif, ce qui occasionne une visite d'Antigua et ses ruelles au charme ma foi, certain et un détour d'une bonne heure et demie. 


Les bâtisses à l'architecture coloniale conquistador sont basses, aux murs colorés, parfois des couches de peintures successives et délavées s'empilent les unes sur les autres, cela donne du caractère et un charme fou à la ville. Il y a des charpentes apparentes, les colonnes sont en enfilades, et puis ces patios fleuris qui cachent des recoins où l'on aimerait bien aller se perdre attirent à la découverte, mais cela sera pour une autre fois, j'ai un avion à prendre!


Nous roulons donc sur ces rues pavées, comme quadrillées où il faut savoir s'orienter car tout se ressemble ou presque. Nous finissons par quitter ce qui semble être un labyrinthe hostile pour le conducteur, avec ses sens interdits et autres voies à direction uniques, plantés là comme pour vraiment vous faire tartir (et ralentir encore davantage notre course). Car il s'agit bien maintenant d'une course contre la montre....Et le film de l'avion raté s'installe de plus en plus dans mes visions. 

Respiiiiiiiire.


Je me jette dans l'aéroport, heureusement il est petit, enregistre avec hâte les bagages, passe la douane, les checks, le bus pour atteindre la rampe de l'avion. La porte se ferme, je peux enfin me détendre. Quelques heures plus tard, j’arrive à Cancun, après encore une brève escale à Mexico. 

Je suis lessivée...


                                                               Mexico city airport by night



Cela est très rare, j'ai réservé un hôtel car j’arrive dans la nuit et ne connais pas la ville. Vu la difficulté qu'a le taxi-hombre à trouver l'endroit, je me doute que c'était pas une bonne idée.




Comme je le découvrirais le lendemain, à la lumière du jour, mes soupçons se confirment, l'hôtel est hyper mal situé.  C'est une quartier résidentiel où trois tiendas perdues vendent des chips et des boissons mais pas un resto à la ronde.... 

Puisqu'il y a quand même une piscine, je décide de ne pas faire grand chose de ma journée, si ce n'est accompagner le proprio en voiture jusqu'à un énorme supermarket afin de me ravitailler. 


Puis je découvre Cancun et sa laideur, j'allais dire.... Grandes artères où déboulent des breaks aux pare-chocs lustrés et des tacots rapiécés. Il faut se rendre à la ''Zona hotelera'' pour voir la mer. C'est en fait une longue bande d'énormes hôtels à l'allure criarde, accolés les uns aux autres, tellement serrés que l'on ne peut même pas voir la couleur de l'eau, à part sur d'étroites bandes où viennent alors s'installer les gens de Cancun. 

Dommage car elle est belle cette mer, turquoise, translucide, le sable est très blanc mais disparaît sur certains tronçons, sous les alignées de transats et parasols pour le tourisme de masse. Les immeubles sont tellement grands que leur ombre se projette sur la plage dès les 16h.





Une route bien droite et très longue sépare ce mur hôtelier s'étirant sur des kms à une lagune où végète une mangrove, les longues racines anguleuses des arbres se perdant dans l'eau verdâtre et statique. L'ambiance est totalement sauvage d'un côté (je vois même un signe ''Attention aux crocodiles''... Si je n'en ai pas vus, il est fréquent par contre de croiser des iguanes le long des routes).

Et de l'autre côté, l'atmosphère est surfaite avec ses bars à musique trop forte et au goût douteux, les énormes shopping centers, où ça se précipite pour faire ses emplettes de souvenirs. Une autre activité omniprésente est le selfie, bâton rallongeant ou pas, ça n'arrête pas. On est la star de sa vie, c'est sûr...



Heureusement ma famille arrive bientôt. Je les attends de pied ferme aux arrivées, du moins celles où j'ai accès. Eux attendent aux portes quittant l'aéroport, auxquelles je n'ai, bien sûr, pas accès... Pas pratique pour un hall d'arrivée...?! Nous finissons par nous retrouver après ce moment de confusion, s'en suivent des embrassades, le constat de voir comment les enfants ont grandis, changés, ils deviennent de vrais petits mecs.... et ma maman bien sûr, qui a quand même l'air un peu sonnée par le voyage.



Nous dormons une nuit à Cancun, près de la station  de bus car demain matin, nous partons déjà pour Merida.

Nous y passons une autre nuit avant de partir le surlendemain encore pour Chicxulub (...oui…imprononçable 😊


Lorsque nous arrivons à la station de bus, il y a une file d’une longueur absurde. C’est en effet vendredi saint et alors tout Merida semble aller à la mer. Il faut dire qu’il fait chaud, très chaud, même tôt le matin…
Après une longue attente, nous nous entassons dans un bus pour la dernière ligne droite avant la mer.

Le bled de Chicxulub est petit, on en a vite fait le tour. Il se compose d’un marché coloré et odorant sous des halles où nous irons nous approvisionner, il y a également la place du village avec des échoppes qui la longent, où des stands de jeux sans clients meublent l'espace, 3 restos qui se courent après et c’est à peu près tout. Il y a la mer bien sûr avec cette plage qui s’étire à perte de vue.  








La villa que nous louons se trouve à 2km de là, le long d’une route qui n’est habitée que d’un côté, celui de la mer évidemment. La maison est fort agréable, spacieuse avec sa terrasse, la petite piscine et la vue des palmiers plantés devant. 

Il n’y a quasiment personne sur cette plage,  c’est assez hallucinant vu le nombre de villas qui se suivent. Il n’y a que leur gardiens (et famille élargie) qui vivent dans des cagibis à côté de demeures ressemblant parfois à des bijoux architecturaux.









Il y a non loin une zone archéologique appelée Xcambó (250-600 A.D) que nous visitons en taxi avec un chauffeur sympathique rencontré préalablement sur la place du marché. Il nous emmène le long de cette route droite, le long de la côte jusqu’au vestiges Mayas.




Ce site était un important lieu d’échange et de commerce.
Xcambo a trois groupes principaux qui composent le site, East, West et Central, tous faciles à visiter et joliment restaurés. Le groupe civique/cérémonial principal est très impressionnant malgré sa petite superficie et constitue le groupe central. Il y a onze structures qui sont espacées autour d'une place centrale.








Papayas


Le site se trouve à côté d’une lagune et fait partie d’un vaste marais. Ces marais salins étaient déjà exploités à l’époque , constituant un important produit d’exportation.

Les couleurs sont saisissantes. L’ambiance y est particulière, ça respire la sécheresse malgré les bassins. Il y a beaucoup d’oiseaux, surtout des hérons s’étirant sur leurs longues pattes.









A propos d'oiseaux, de ce côté-là de Mexico, on voit beaucoup de goélands, ils sont marrants, ont l’air maladroits dans ce corps trop grand, quand ils flappent des ailes. Mais ils ne reculent devant rien lorsqu’ils plongent bec en avant dans la mer. Ils émergent ensuite en ouvrant grand leur bec, devenu une sorte de bassine maintenant, gonflé, rempli d’eau et de poissons j’imagine.





Les jours passent et trépassent en mode balnéaire et ça nous convient assez bien!












Le temps des vacances touche à sa fin. Nous rentrons tous à Cancun, d'où ma sœur et les kids voleront quelques jours avant nous. Rentrez bien, merci pour les chouettes moments passés ici et l'on se retrouve très vite en Suisse! Ma mère et moi restons sur Isla de Mujeres, en face de Cancun. Cette halte est sympathique car l'eau est sublime mais l'est de l'ile, où la grosse concentration touristique se trouve, reste un peu surfaite. C'est un alignement de boutiques, restos et bars. A part ça, cela fait du bien de profiter d'eaux cristallines, du soleil et du poisson le soir dans une gargote du bord de plage, avant un retour imminent en Suisse après 18 mois!!!



Notre chapitre arrive à sa fin. Je vous retrouverai en Suisse, mais pas pour longtemps, comme vous pourrez le constater!

Rendez-vous donc pour les prochains épisodes à venir, où nous irons au Portugal, en Inde, en France, rien que cela.


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