Affichage des articles dont le libellé est Tibet. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Tibet. Afficher tous les articles

07 août 2010

Bye Tibet... Welcome to China





Les rases prairies sont tachetees de noir, ce sont les yaks aux long poils qui paissent. Derriere eux les montagnes s'etirent comme un mur dentele et rares sont les buissons qui poussent.
Je quitte le Tibet et son au revoir est un beau cadeau au travers de cette nature sauvage.
Je passse pendant des heures au travers d'un large plateau ou il n'y a pas ame humaine qui vive mais des antillopes tibetaines et des anes sauvages en pleine sante dans leur habitat. Ils sont elances et fins. Puis soudain un imposant massif blanc pointe vers le ciel bleu lumineux et m'emerveille.

* * *

Black dots are scattering the flat meadows, these are the yaks graze. Behind them, the mountains are streching out like an indented wall and rare are the bushes around.
I leave Tibet and its goodbye is a nice gift with this wild nature.
We ride during hours through a large plateau where no human being leaves but healty tibetan antilopes and wild donkeys. They are slander and very agile, free and graceful.
And suddenly an imposing white massif rises to the luminous sky marvels me..












Le train est tout confort, cela n'a rien a voir avec ceux de l'Inde pour la meme classe. J'ai reserve en couchette 'dure' et m'attendais donc au pire (je me suis preparee a une banquette en bois auquelle je n'aurais jamais entierement acces, devant surement la partager pendant 24h avec des dizaines de chinois entasses, eux et leurs bagages).
Me voila donc plus qu'agreablement surprise lorsque je decouvre le moelleux du lit, recouvert d'un duvet douillet, de draps blanc resplendissants et de deux coussins!!! Moi qui avais mis a portee de main mon sac de couchage et le matelas isolant pour plus de confort...
Je decouvre les autres luxes de ce train. Il y a de l'eau chaude a volonte, ideale pour se rechauffer des soupes minutes ou du the. Et si le voyageur se sent mal a cause de l'altitude, il peut se mettre sous oxygene. Il y a de petites sorties aupres de chaque couchette. Celles-ci sont calmes. Les wagons sont air-conditionnes, il n'y a pas de vitres qui branlent ou de tantan tantan mecaniques annoncant la cadence reguliere du train. A la place, de la musique classique ou un air melancolique asiatique qui emane doucement des hauts-parleurs. Ceux-ci annoncent a intervalles reguliers les splendeurs qui nous entourent ou les merites des ingenieurs qui ont bati cette ligne de chemin de fer. Certes nous circulons a plus de 5000m d'altitude et passons sous de nombreux longs tunnels. Apparemment une prouesse de l'ingenieurerie.
Toute la ligne est entouree de barrieres pour eviter que les animeaux sauvages se fassent ecraser. Ai tout de meme vu un magnifique renard gris le long de la voie.
Et puis il y a aussi sur des kms et des kms ces carres faits de pierres alignees qui longent la voie et je ne saurais dire a quoi ils servent.

* * *

The train is very confortable and has nothing to compare with the indian ones for the same class. I booked a hard sleeper and expected the worst (I imagined a wooden sleeper I could never access completely, certainly obliged to share it with dozens of other piled up chinese people, them and their luggages).
Here am I then more than nicely suprised when I discover the softness of the bed, covered with a smooth duvet, white sparkling sheets and two pillows!!! I put my sleeping bag and isolating matrass handy for more confort but would obviously not need them...
I discover the other luxuries of this train. There is non stop hot water, ideal for minut soup or tea. And if the traveler feels sick because of the altitude, he can get oxygene. There are tiny exits next to each sleeper. Those ones are quiet. The cars are aircon, there are no shaking windows or the metalic tantan tantan sounds announcing the regular train cadence.
Instead, they play some soft classic music or melancolic asian song emanating from the speakers. They also announce from time to time the beauties surrounding us or the merits of the engeneers who worked on that railway. Indeed we ride at 5000m high most of the time and go through many tunnels. Apparently a miracle of engeneering.
The entire railway is surrnouded by fences to avoid the crash of wild animals. I still saw a beautiful grey fow along the line though...
And you can also see those squares aligned along the railway and I dont know what the hell they are there for.







Je me laisse bercer par la contemplation de ces etendues et admire les beautes de la nature, alors que la lumiere est changeante d'instant en instant.

* **

I am leaving Tibet from the North and have all the time to drift away and comtemplate those wide spaces and admire the beauty's nature, while the light is changing from instant to instant.
The first 18h we ride, we only stop at 2 stations...












05 août 2010

Lhasa





En fin de journee, nous voila arrivant a Lhasa. La ville a ete transformee, pour ne pas dire ravagee, ces toutes dernieres annees. Les batiments implantes par les chinois sont carres, sans charme ni caractere, d'aspect superficiel. Il y a de longues et larges avenues bordees de lampadaires de style Belle epoque. Cela me donne l'impression d'etre dans un decor de cinema et me laisse sans voix. Les montagnes nous entourent toujours et malgre leur stature, elles passent quasiment inapercues dans ce chaos betonne.

* * *

By the end of the day, we reach Lhasa. The city has been transformed, not to say devastated, those recent years. The buildings established by the chinese are squarish, without
any charm or character, superficial. There are long and large avenues, with Belle epoque style street lights. It gives me a strong feeling of being part of a cinema setup and let me without a voice. The mountains are still surrounding us but even with their size, they are almost unnoticed in that ciment chaos.












Mais au milieu de la ville se dresse majestueusement le Potala comme sorti d'un reve. Face a lui, une enorme place ou des pelerins pratiquent la Kora et se prosternent au sol. Je remarque le drapeau chinois, comme une cerise posee sur un gateau au sommet de l'edifice. Je suis ecoeuree. Etait-ce necessaire, vraiment??? Quel manque de classe decidemment.

* * *

But in the middle of the city stands majestously the Potala, like coming out of a dream. Facing it, an enormous place where pilgrims are practising the Kora while prosternate themselves to the ground. I notice the chinese flag, like a cherry toping a cake, right in the middle of the edifice. I am sickened. Was that necessary really??? Definitely another sign of lack of class.








Le bus nous pose au Barkhor Market dans la vieille ville. Une fois de plus le contraste entre l'architecture rigide des chinois et les batisses plus harmonieuses des tibetains est flagrant. Il y a un incessant va et vient et nous nous impregnons de ce melange entre ces deux cultures cohabitantes.

* * *

The bus drops us at the Barkhor market in the old city. Once more the contrast between the rigid chinese architecture and the more harmonious tibetan houses is obvious. There is an endless coming and going happening and we merge ourselves in that mix of those two cultures.

























Heureusement, nous sejournons donc dans ce vieux quartier, avec une chambre ma foi fort agreable. Et malgre les heures de route et l'atlitude (3500m), j'ai une peche incroyable et esquisse un pas de danse une fois arrives.

* * *

Luckily though we do leave in that old neighborhood, in a really nice room. And even though the hours of drive and the altitude, I am fullpower and can't retain some dancing paces once arrived.








Nous nous situons egalement a deux pas du temple Johkand, le plus sacre pour les les bouddhistes tibetains.
Notre chambre donne sur une rue pietonne du marche ou des centaines de pelerins pratiquent la Kora autour du temple. Nous avons de la chance car nous sommes a quelques jours seulement de l'anniversaire de Buddha qui tombe en meme temps que la pleine lune. C'est donc une date de toute importance pour les bouddhistes. Ils sont venus par centaines se recueillir au temple. Nous passerons le plus clair de notre temps libre a errer dans le Barkhor Market pour observer la vie s'ecouler et les rites des pelerins. Comme a chaque fois, je suis touchee par leur ferveur, humilite et purete.


* * *


We are also located close to the Jokhand temple, the most sacred one for the tibetan buddhists.
Our room is on a pedestrian street where hundreds of pilgrims practise the Kora around the temple. We are lucky as in a few days it is gonna be Buddha's anniversary and full moon. It is a really important date for the buddhists. They came from all over to pray here. We spend most of our free time wandering around the Barkhor Market to observe life passying by and the pilgrims rituals. Like every time, I am touched by their fervor, humility and purity.

















































J'ai dans l'idee depuis un moment deja d'aller voir le Mont Kailash, qui est LA montagne la plus sacree pour les bouddhistes tibetains, mais aussi les hindous et les jains. Ce massif a la forme caracteristique se trouve a l'ouest du pays. Il y a un lac non loin et les pelerins sont nombreux. Ce lieu doit etre tres charge energetiquement et j'adorerais m'y rendre. Puisque la pluie lune arrive et que ce sera un grand moment de pelerinage, l'occasion me semble ideale!
Je me verrais bien ensuite continuer ma route pour rejoindre la frontiere ouest du pays et entrer au Pakistan. Mes projets vont neanmoins etre confrontes a la dure realite imposee par les chinois. Pour visiter le Mont Kailash, il faut un permis emis en 10 jours minimum. L'objet passe en effet par 5 offices chinoises differentes avant d'etre rendu??? Ho, c'est une montagne les gars, elle n'est pas a vous, c'est la natuuuuuuuuuuuure...
J'apprends aussi qu'il faut bien sur se joindre a un groupe organise pour s'y rendre. Je suis prete a le faire puisque je suis si pres. Mais ce doit etre via la meme agence que celle par laquelle je suis entree dans le pays... ??? Quand je vous dis qu'ils sont compliques. La mienne organise un tour mais partant apres la date du pelerinage et met 14 jours pour faire le permis...
Je n'ai pas un visa me permettant de rester aussi longtemps sur sol tibetain. Je suis forcee de renoncer a mon reve, suis degoutee et tres frustree... Et l'image du gouvernement ne va pas en s'arrangeant dans ma petite tete...

L'omnipresence de la police ou de soldats dans les rues frappe, voire choque. Le contraste, une fois de plus est saisissant alors qu'ils evoluent au milieu des pelerins venus simplement armes de leur foi. Decidemment les chinois ont tout juste...

* * *



Since a while already, I have the desire to go to the Mount Kailash which is THE most sacred mountain for the tibetan buddhists (the hindus and jains also worship it). This massif has a caracteristic shape and is in the west part of the country. There is a lake close by and pilgrims are numerous over there, especially on pilgrim time. This place must be full loaded energtically and I would love to go. As fullmoon is coming and a big pilgrim time too, the occasion seems ideal to me. I could see me afterwoods continue my path to reach the western border and enter Pakistan. Nevertheless my projects are going to be confronted to the hard reality imposed by the chinese. To visit Mont Kailash, you need a permit which takes at least10 days to be delivered! The item has indeed to go through 5 different chinese offices??? WHY??? It is a mountain guys, not yours, not mine, it is nature...
Of course you have to join an organised tour to get there too. I am ready for that as I am that close. But it has to be booked through the same agency with whom I got in the country...?? When I tell you they are complicate... Mine does organise a tour but leaving after the pilgrim date and takes 14 days to obtain the permit...
I haven't a visa which allows me to stay that long on the tibetan soil. I have to give up my dream, I am disgusted and very frustrated...
And my idea of this government do not get better in my little head...

The omnipresence of the police or soldiers in the streets is obvious and even shocking. The contrast, once more is arresting while you see them amid the pilgrims, here simply armed with their faith. The chinese got it definitely right...

























Nous visitons le temple sacre qui reservera de belles surprises et emotions.

* * *

We visit the sacred temple which will reserve some nice suprises and emotions...











L'interieur est sombre, eclaire de bougies et de spots sur les statues de Buddha et effigies saintes. L'odeur du beurre de yak constituant la cire est omnipresente et se melange aux innombrables batons d'encens qui fument. Les temples et monasteres sont toujours tres colores, avec tangkhas pendant aux murs, echarpes aux cous des statues et a leurs pieds, des figurines concues et peintes par les moines. Les groupes organises sont nombreux et leurs participants bougent en halo autour du guide, tendant la tete pour voir de quoi il parle et continuent leur chemin. Au milieu d'eux, les pelerins alimentent sans cesse les flammes tremblottantes en murmurant discretement leurs mantras.

* * *

The inside is dark, only enlightened by candles and the spots on the Buddha's statues and holy pictures. The smell of yak butter is omnipresent and mixed with the unnumerous incense sticks. The temples and monastery are always very coloreful with dangling tangkhas on the walls, scarfes on the statue's necks or feet, painted figurines made by the monks. The organised tours are numerous and its participants move like a halo around their guide, streching their head to see what he is actually talking about and continue their way. Amid them the pilgrims keep the flames burning endlessly while murmuring discretly their mantras.










Ici aussi la police est presente, allez savoir pourqoi et accopmagne les moines.
Nous observons le manege en decouvrant les exterieurs.

* * *

Here too the police is visible, who knows why, and accompain the monks.
We observe the circus while discovering the outdoors.







C'est a ce moment-la que nous entendons ces chants intriguants.. Ce sont les travailleurs qui en aplatissant la toiture avec leur maillet, battent le rythme et chantent de maniere presque melancolique. Ce sont des airs venus de leur region lorsque les champs sont travailles. C'est tres emouvant.

* * *

It is then that we hear those intrigating songs. It is the workers who while flatening the roof with their mallet, beat the rhythm and sing in an almost melancolic way. These are songs coming for their region when their work in the fields. It is really touching.


















Puis nous assistons a un spectacle dans la cour interieure qui attire toute notre attention. Les moines se livrent a un echange que nous cherchons a identifier. Au tout premier abord, je crois a la pratique d'un art martial car le moine debout fais tout un mouvement avant de taper fort dans ses mains. A ce moment-la, le moine assis en face de lui repond le plus rapidement possible. Ce sont en fait des debats sur la philosophie bouddhiste. Beaucoup d'emotions traversent ces echanges, c'est tres intense.

* * *


Then we see a show which attracts all our attention. The monks are practising a sharing we try to identify. At first, I believe they practise a martial art as the standing monk is doing a great movement before claping hard between his hands. Then, the seated monk facing him answers as fast as he can. These are in fact philosophical debates about buddhism. A lot of emotions are going on during those sharings, it is very intense and interesting to watch.

















Nous verrons les memes 'joutes' lors de notre visite du monastere Sera. La communaute de moines ici est importante et c'est tout un jardin qui sera occupe par ces clappements de mains, rires, reponses fusantes.

* * *

We will see the same debates while visiting the Sera monastery. The monk community here is important and it is a full yard occupied by those hands clapping, laughs and erupting answers.
































Enfin nous visitons le Potala qui fut le centre nevralgique de la vie tibetaine, autant politiquement que religieusement, jusqu'en 1959. Les chinois ont alors pris la main mise sur Lhasa et un bain de sang a eu lieu entre ces murs. J'ai le sentiment de visiter un musee. Il n'y a quasiment plus de moines ici mais des groupes organises qui se suivent dans un peloton de voix crillardes et monotones pour decrire ces vestiges. Le tourisme chinois semble florissant et ils sont nombreux a venir visiter le Tibet. Leur guide ne sont pas discrets et rendent peu respect a l'ame qui reste dans ces lieux. Mais cela fait partie de l'histoire n'est-ce pas?
Les 1001 statuettes de Buddhas qui devaient meubler toutes les pieces de ce palace, et elles sont innombrables, sont maintenant alignees derriere des vitrines. Rien n'est mis en valeur. A la place, des parois orientent le visiteur. Nous ne pouvons visiter qu'une partie tres restreinte de la batisse et le temps de visite est limite...
Il y a pourtant des richesses inestimables, des tombes en or aux parois incrustees de pierres, des statues immenses et lumineuses de Buddha, des tangkhas et peintures effectues avec une precision hors pair. Ce lieu devrait etre en vie, regorgeant de moines en pleine activite et c'est rendu un lieu de passage pour le touriste. Vestiges d'une culture que l'on a et continue d'evincer mais dont on ne renonce pas aux benefices qui visiblement sont nombreux. C'est vraiment degueulasse et me rend tres triste.

* * *

Finally we visit the Potala which was the tibetan life's nevralgic center, politically and religiously until 1956. The chinese overtook then Lhasa and a bloodbath occured in those walls. I have the feeling of visiting a museum. There are almost no more monks here but organised groups which follows each other in a firing squads of nasal and monoton voices to describe though those relics.
But this is just part of history right?

The 1001 little statues of Buddhas which should fullfills every room of this palace, and they are unnumerous, are now ligned up behind windows. Nothing is put in its advantage. Instead, walls orientated the visitor through a certain path. We can only visit a very restricted area of the place and the time of the visit is limited tol one hour. We manage to stay a bit longer..
There are though countless richness, like golden tombs with encrusted stoneson their walls, immense and lightening Buddha statues, thankhas and paintings done with an incredible precision. This place should be full of life, of busy monks and it happens to be a place for tourists. Relics of a culture which has been and still is unseated of its own land. But the chinese do not renounce to the obvious numerous benefits of it. It is truely disgutsting and makes me feel really sad.

























Notre sejour touche a sa fin et je suis heureuse d'etre venue visiter le Tibet. J'ai decouvert ses splendides etendues et ces montagnes arides que j'aime tant. J'ai ete extremement touchees par ses habitants, adorables et extremement beaux. Leur foi me va droit au coeur, la rudesse de leur vie aussi.
A contrario, je suis ecoeuree par la presence chinoise qui est opressante et semble loin de s'en aller. De moins en moins d'heures de langue tibetaine sont donnees dans les ecoles, petit a petit, la culture disparait. Le peuple tibetain qui se chiffrait a 6 millions de personnes, en a maitenant 3 en exil. L'infrastructure installee par les chinois, les routes, la voie de chemin de fer, l'electricite ne laissent pas a penser que leur presence est temporaire. Pour eux, la province est chinoise, un point final. Des emprisonnements de tibetains ont toujours lieu et la propagande va bon train.

Quelle tristesse. Et qu'un jour la paix puisse enfin regner dans le coeur des hommes.
Sur ce, bonne nuit!

* * *

Our stay reaches its end and I am still happy that I came to Tibet. I discovered the splendid plateaux and those dry mountains I like so much. I have been extremely touched by its adorable and extremely beautiful habitants. Their faith touches my heart deeply, the hardness of their life too.
A contrario, I am sickened by the chinese presence which is oppressing and seems far to go away. Less and less hours of tibetan langage is given at the schools. Slowly slowly, the culture is disapearing. The tibetan people were 6 millions, 3 of them are now in exil. The infastrucuture installed by the chinese like the roads, the railways, the electricity do not make me think that their presence is temporary. For them, the province is chinese, that's it. Tibetan are still locked in and the propaganda is udge.

What a sadness. And hopefully one day may peace reigns in the men's heart.








La magie du voyage, une rencontre extraordinaire à Kalamaki - Part 7 Roadtrip

 To go with the flow... Je prends la route de bon matin et continue de longer la côte qui devient de plus en plus construite en remontant en...

Les articles les plus lus!