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19 janvier 2009

Mumbai

J’ai m’en vais quittter l’etat du Gujarat par un train de nuit en direction de Mumbai. Ce fut un peu epique. J’avais reserve a l’avance un ticket en classe couchette. Malheureusement ma place n’est pas confirmee et suis sur liste d’attente. Je suis sensee me rendre a Ahmedabad, situee a 5h de bus de Palitana mais apprends que le meme train passe par Bhavnagar, une ville non loin de la. Je m’y rends et obtiens une couchette pour le trajet jusqu’at Ahmedabad. La, je devrais une fois de plus trouver le controleur sur le quai pour lui quemander une couchette. Ce que je ne manque pas de faire après 6 heures de trajet deja.
Chance, le jeune et efficace monsieur en bleu fonce me trouve une couchette, malgre le nombre de personnes qui l’entourent. Que des hommes bien sur. Il ecrit le numero du wagon et celui de ma place sur le ticket et telle armee du Graal, me repere avant d’affronter le branle-bas de combat ambiant. Mais quel monde!

Les porteurs au turban rouge se fraient un chemin dans la multitude de personnes en mouvements, chargees elles aussi de bagages encombrants. Des jeunes gars en bande portant des pantalons etrangement serres au niveau du bassin, des vieux tenant debout febrilement sur des jambes squelettiques, des middles class pouponnees, des pauvr’ gens, assis la par terre, le regard perdu, moi, des bebes emmaillotes dormant du sommeil du juste et pas du tout genes par le chaos sonore regnant. Car il y a du bruit dans une grande gare indienne, meme la nuit. Il faut imaginer le bruit des milliers de pas des voyageurs , presses d’arriver ou de trouver leur place. Mais il faut aussi compter sur la famille elargie venue accueillir ou saluer d’un dernier au revoir les passagers. Et puis il faut entendre crier les gars tirant a bout de bras d’enormes charrettes ou sont entreposes des colis en tissu blanc et de toutes tailles,. Ils hurelent pour que la voie soit degagee. Je comprends bien, ca doit etre dur a frener un tel chargement. Bien sur l’on peut aussi entendre la voix off, teintee de gresillement, annoncer le prochain depart ou l’arrivee de tel train en gare.
Il est minuit passé.

J’arrive enfin au wagon, un peu sonnee par toute cette agitation mais encore concentree sur ma mission. La je crawle encore entre les bras, bustes et jambes qui remplissent le couloir, J’ai un sourire de reconnaissance pour mon sac-a-dos, le fidele depuis 13 ans. Il est aussi etroit que moi et ne se coince nulle part, il me suit telle mon ombre. Enfin je le depose sous ma couchette et prends place. Un gars est deja assis dessus. Je me dis qu’il est la en attendant, comme c’est souvent le cas. Il s’en ira plus tard, voila ce que je me dis mais un de ces ami m’’interpelle, me disant que ca n’est pas ma place. Tres vite il me demande mon ticket, le scrute et finit par me dire de m’en aller. Il a cet air dedaigneux du middle class indien qui se croit tout permis, me narguant avec son arrogance. En meme temps je n’en mene pas large, pensant qu’il possede une place confirmeee. Mais il faut bien le dire, après quelques minutes de palabres, il commence fort a m’agacer celui-la : Me suis reveillee a 6 heures du matin, ai gravit 3800 marches, j’ai deja 6 heures de train dans les jambes et me contenterais volontiers d’un peu de calme pour les 8 prochaines heures que je passerais apparement, recroque-villee car nous serons en fait trois a devoir la partager… (et qu’est ce que je fais la nuit prochaine : je prends un autre train de nuit pour Goa… Ca promet!).

Je ne m’etonne guere qu’il y ait eu des erreurs faites sur l’attribution des places, vu le nombre que l’on etait a en attendre une sur le quai. Mais apprenant que mon interlocuteur et l’homme assis ont le meme statut que moi, je ne vois pas pourquoi ce devrait etre a moi de m’en aller. Comme qui dirait, on est tous a la meme enseigne. Mais Monsieur veut jouer au plus fin et il est tres mal tombe avec moi, il faut le dire. Il cherche maintenant a savoir de quand ma reservation.. Sa petite bouche pincee reste coi car je m’y suis prise 2 semaines a l’avance. Il n’est qu’a 2 jours. Je lui reprends mon ticket des mains, le range et m’installe face a la fenetre. Le Monsieur se retire, il ne sait plus quoi dire.
Enfin arrive le controleur qui reglera le litige. Il envoie l’homme assis dans un autre wagon et celui qui jouait au tout-puissant sur une couchette au bout du couloir. Et je reste la. Belle victoire que je savoure alors que le tout-puissant me demande, en partant, si j’ai paye un backshisch au controleur! J’adore…

Je dors quelques heures tout de meme avant d’arriver a Bombay. Je m’y rends figurez-vous, afin d’aller recuperer les raquettes de beachtennis appartenant a Alex. Nous prevoyons en effet de nous retrouver pour les fetes de fin d’annee. Et quelle plus belle idée que de festoyer a la plage au coeur de l’hiver… Celle-ci est, qui plus est, ideale pour les raquettes. Plate, longue et au sol dur. Ahhhhhhhhhhhh, je nous y voit deja, eclaboussant les alentours en allant chercher des revers bien lances ou sautant tel un cabri dans les airs pour attraper un loeb, enfin . Mais me voila arrivant dans la gare de banlieue des amis d’Alex. Je descends en un rien de temps, sirote quelques chais avant de les appeler. Je les suprends en plein dejeuner et suis aussitot invitee a y prendre part. Je me regale alors de succulents parothas (galette epicee et frite) a tremper dans une sauce de pickles. Du curd au lentilles, des fruits, du chai, un jus. Ces gens sont adorables. Je croise la famille au grand complet. Les parents et les 3 enfants. Chacun s’apprete a commencer sa journee. Ils vient au sommet d’une tour et jouissent d’une grande terrasse. Une brise circule toute la journee a travers l’appartement, c’est fort agreble.
Je prends meme une bienvenue douche. Je recupere les raquettes et vois que quelques magasines ont ete postes avec. Mon regard est aussi fort attire par les cochonneries du genre carambars et autres sucrerires allechantes qui se trouvent au fond du sac…

Je rejoins ensuite le sud de Bombay parla gare principale, Victoria Station. Une bombe a aussi explose la il y a 4 jours. Je repere en effet un nombre important de policiers et meme l’armee. Je ne constate cependant aucun checking particuler pour entrer ou sortir de la gare. On est loin d’Israel…
Je repere le lieu de commemoration dans un hall ou brillent la lueur des bougies en memoire.


* * * 


Mumbai

 

 

I will leave the Gujarati state with a night train going to Mumbai. And that ride was a bit hectic. Explanations : I did book in advance a sleeper class ticket. Unfortunately my seat wasn’t confirmed and am still on the waiting list. I am supposed to go to Ahmedabad, located 5 hours away from Palitana but I learnt that the same train will go through Bhavnagar, a non far away city from Palitana. I get there and obtain a sleeper for the journey to Ahmedabad. There, I should once more find the ticket collector on the gate to beg for a sleeper. Wich I will of course do after already 6 hours of train. By luck, the young and efficient dark blue dressed man finds me a sleeper, even though there is a high number of persons surrounding him and having the same request as me. There are only men in the crowd, like often I am the only woman. The ticket collector writes down on my ticket the number of the car and of the couch. And like armed with the Holy Graal, I spot myself in that chaotic environment. But so much people ! Red turbaned porters try to make ones way through the incredible amount of moving people, loaded themselves with cluttered luggages. Young guys wearing strangely tight-crotched trousers, old people standing uncertainly on their skeletic legs, middle-class women gussied up, poor wallahs sitting on the floor with a lost look, me, babies swaddled and sleepy, not disturbed at all by the ambiant surrounding chaos. Because there are loads of noises in a big indian railway station, even at night time. You should imagine the resonances of thousands of traveler paces, hurried to arrive or to find their places. But you also have to count on their  beloved ones who came to welcome or to salute them a last time. And you should ear the guys yealing to get a clear way, while draging with their arms some enormous carts where are set up piles of white stiched parcels of any kind of sizes. Well I do understand them, must be quite hard to slow down such a load. Of course you can ear the voice-over, tinted of cracklings, announcing the next departure or the arrival of a train.

It is over midnight. I finally get to the car, a bit groggy by all this agitation but still focused on my mission. Now I am crawling between the arms, torsos and legs which are fillfulling the hallway. I have a grateful smile for ma backpack, the faithful one since 15 years. It is as small as me and don’t get stuck nowhere, it follows me like my shadow. Finally I drop it down under my sleeper and sit. A guy is already on it. I guess that he is waiting there, like it is often the case. He will go later, tell I to myself but one of his friend calls out to me, saying  that this is not my place. Very quickly, he asks for my ticket, searches it and ends up telling me that I have to leave. He has that typical indian, middle-class, disdainful look who thinks that he can do whatever he wants, taunting me with his arrogance. By the same time, I do not feel so self confident, as I think that this guy has a confirmed ticket. But I have to say, after a few minutes of having him arguing endlessly, I start to be pretty annoyed :  Today I woke up at 6am, walked up and down 3800 stairs, took already a train for 6 hours ! I would really appreciate a bit of quiteness for the 8 following hours that I would apparently spend, huddled up, as we are gonna actually be 3 on the same sleeper !

And what the hell am I doing next night : Taking another night train for Goa... Why like this ???

By the time, I am not so suprised to see that mistakes have been done while allocating the places, according to the number we were, awaiting to get one . But now that I know that the guy and the seated one have the same status as me, why should I be the one leaving ? We are all at the same level. But Mister wants to play it with me, well ok, but I am a stronghead too. He wants now to know since when I have booked my ticket. His little pinched mouth stay still as I booked it 2 weeks ago while he did it only 2 days ago. I take back my ticket, put it in its place and seat more confortably next to the window. The man is steping back, he doesn’t know any more what to say...

Finally arrives the ticket collector who will solve the problem. He send the seated guy in another car and the omnipotent on a sleeper at the end of the hallway. And I am the one staying here. Nice victory I enjoyed while the omnipotent asks me if I did pay a backshich to the ticket collector ?! I love it !

I sleep a few hours before getting to Bombay where I am going to pick up Alex’s beachtennis rackets. We plan to meet for New Year’s Eve. And what a better idea than partying on a beach somewhere, in the middle of wintertime.

But here am I getting to the suburb station where the friends of Alex are living. I am done in no time, sip a few chais before calling them. I suprise them during their breakfast and am directly invited to join them. I enjoy then amazing parothas with home made pickles, some curd with dhal, fruits, chai and a juice. Those people are adorable. I meet the entire family, the parents with their 3 kids. Everyone is getting ready for its day. They live at the summit of a tower and got a big terrace. A brise flows everyday through the flat, it is really nice. I even take a welcome shower. I get the rackets and see that some magasines have been send with them. My look is as well dam attracted by the chocolates and others succulents  buiscuits at the bottom of the bag.

I go then south Bombay to Victoria station, the main one. A bomb did explose here 4 days ago. I can see in fact an important number of policemen and even army guys. I spot nevertheless no peticular checkings to go in or out the staion. We are far away from Israel...

I see a commemorative space in a hallway where shine the lights of memory candles.

I leave my bag at the cloak room and go for a rdv. I should see Sylvia and Yahav, recently met in Diu. We spent the rest of the day together and even take part to a strike around the Taj Mahal. The population is angry after the dramatic events. It is accusing their politicans to do nothing, to not be able to protect their country even though they have been alerted by other nations and after all the others terrorist attacks India has been through this year. Many slogans are chanted, the crowd scream them loudly, many people are wearing t-shirts with the name of the deaths and an incredible amount of signs denounce.

I will only stay a few hours in Bombay according to the context. I go back to the Railway station. At the latest, I grab my bag back and get to the car. It is the first time that I feel a bit weird in this train station, trying to imagine how it looks like to be in the middle of a terrorist attack. Luckily, the train leaves without any delay and tonight I have a sleeper ! I think about my next destination, Arrambol, at north Goa. I will meet Bernard, a friend met while doing my really first long solo trip. I am excited ! It has been a little while we didn’t see each other ! 

 






Je depose mon sac au vestiaire et me rends a un rendez-vous. Je dois croiser Sylvia et Yahav, recemment recontres a Diu.







Nous passons le reste de la journee ensemble et assistons a une manifestation autour du Taj Mahal. La population est en colere suite aux dramatiques evenements. Elle accuse ses politiciens de ne pas agir, de ne pas savoir proteger leur pays, malgre les avertissemtents et les autres attentats perpetues cette annee.
De nombreux slogans sont scandes que la foule reprend, beaucoup portent des t-shirts avec les noms des defunts et un nombre incroyables de pancartes denoncent.
















Mon passage dans la megapole sera de courte duree etant donne le contexte. Je pars donc le soir meme depuis Victoria Station. Je m’y rends a la der’, recupere mon sac au vestiaire et m’enfile dans mon wagon. C’est la premiere fois que je me sens bizarre dans cette gare, essayant d’imaginet ce que ca doit faire de se trouver en pleine attaque terroriste. Heureusement, le train part sans attendre, a l’heure et ce soir, j’ai une couchette.
Je songe a ma destination prochaine, Arrambol, au nord de Goa. J’y retrouve Bernard, un ami, rencontre lors de mon premier long voyage en solo.
Je me rejouis fort!

01 décembre 2007

Mumbai

ChomSir Pic





Je m'envole pour Bombay avec un ticket aller simple. Le trajet ne dure que 5h et j'arrive chez Motherindia a l'aube. Deja les rues sont animees, sentent les fruits et legumes eparpilles sur le sol. Ca se reveille en baillant, tout en chariant un bidon de lait ou en faisant son marche.
Les camions sont encore parques et n'ont pas entame leur journee sur la route. Pour l'heure, ils sont vides, remplis, une joyeuse animation les entourent.




Le taxi m emmene a Collaba, le quartier des touristes et du Taj Mahal. J'y ai mes reperes maintenant et c'est un peu comme de rentrer a la maison que de me retrouver une fois encore ici. Je rejoins le Strand hotel, ou ma cops Claire m'accueille matinalement. Il est 8h. Bonjouuuuuuuuur!
C'est super sympa de se retrouver entre filles dans un lieu que l on a souvent evoque. S'en suivent des virees dans les restos et magasins preferes, afin de se gaver.





Je squatte donc la chambre de Claire et voici la vue dont nous benefissions tous les jours a notre reveil. Autant dire que cela change des "Shiva lodge" habituellement frequentes. Le grand luxe, nous faisons donc face a la mer, dans un immeuble agreablement renove. Le quartier est chic, il faut le dire, avec ses imposants batiments datant de l'epoque victorienne. De grands arbres jalonnent les trottoirs, apportant un calme agreable, loin de la frenesie de la rue principale, ou shops, mendiants, vendeurs en tous genres, ne cessent d'alpaguer le passant. Je vois un charmeur de serpents, des carrioles tirees par des chevaux balladant les couples ou familles, ravies de decouvrir la promenade du bord de mer ainsi. Les chats se battent les restes dans la rue. Un gars assis, joue seul a se faire des patiences, il marmonne des chiffres. Je le vois ainsi le matin et en fin de journee quand je repasserais. Le premier soir en rentrant a l'hotel, je vois un rat couratant sur le bitume sale avant de se faire tuer a coups de baton. Welcome back! Ca a le don de me faire rire. C'est fou ce que ce pays peut faire sur le mental.


Gateway of India



Puis, apres quelques visites ci et la, dans la turbuleuse cite, apres l habituelle organisation de la suite du voyage, nous voila rejointe par Henriette, une 3eme comparse. Nous passons une agreable journee, je pars le soir meme pour Hampi alors que mesdames me rejoindront dans quelques jours.




Ambiance "filles" au programme et ca fait du bien ma foi!!!

14 janvier 2007

Mumbai et les retrouvailles

Mumbai

मुम्बई


Je remonte à Mumbai pour accueillir Alex, mon ami d'enfance, qui me rejoint pour deux mois. Il vient ici pour la 1ère fois et j'ai souci que tout se passe bien pour lui. J'espère aussi que je "supporterais" de ne plus voyager seule, libre à chaque instant. Alex m'ayant donné plus ou moins carte blanche pour notre itinéraire, je suis confiante et effectivement, tout se passera bien durant notre séjour commun.

Nous restons dans la mégapole, le temps d'une petite acclimatation. J'ai réservé une chambre loin d'être pourrie pour cette 1ère approche, histoire de ne pas l'effrayer. Non pas que je choisisse des lieux insalubres comme chambres mais force est de reconnaître qu'après tout ce temps passé en Asie, où la propreté n'est pas à chaque fois de mise, mon seuil de tolérance a augmenté. On s'habitue à tout et de fait, la saleté n'est plus si répugnante à force de la côtoyer...



Nous visitons la lavanderie de la ville, énorme espace où des milliers de vêtements sont nettoyés chaque jour. On peut se demander comment ils font pour ne pas perdre les choses...



La lavanderie de la ville



Nous errons dans différents marchés, au temple Mumba, déesse de la ville ou encore dans les trains urbains. Nous jouons au backgammon sur des terrasses, visitons la bibliothèque et les couloirs du prestigieux Taj Mahal hôtel. Non loin se trouve la Gateway of India, ouverte sur l'Océan.





Nous allons aussi à la mosquée Hadji Ali, située sur la mer, à quelques mètres du rivage. Un chemin long et tortueux y conduit. Le cortège de pélerins en perpétuel mouvement, arrivant ou partant, foule le sol. Une centaine de mendiants sont installés tout au long afin de collecter quelques piècettes auprès des nombreux pélerins. On y voit de tout : amputés, infirmes, malformés, vieillards aux râles de douleurs, lépreux, enfants maigrichons, etc.


Je visite l'espace réservé aux femmes car je n'ai pas pensé à prendre un foulard couvrant ma tête pour entrer dans le lieu de culte. J'observe l'insouciant spectacle de ce dimanche après-midi. Je vois les femmes, cheveux à l'air libre, profitant du soleil, jouant, s'occupant des enfants, dans une ambiance décontractée. Plusieurs d'entre elles m'abordent, me demandent d'où je viens. Elles semblent amusées de me voir là. Je me dis que j'ai de la chande d'être l'une d'elles pour les voir ainsi, s'épanouir, belles, loin du regard des hommes.




Enfin, nous réservons nos tickets de train pour rejoindre Hampi, notre prochaine étape. Ai-je déjà parlé du processus pour réserver un ticket? Un petit exemple tout bête d'un système qu'il vaut mieux connaître pour se simplifier la vie. Il faut se munir d'une fiche blanche où doivent être indiqués le nom du train, son n°, la gare de départ, l'h, la destination etc. Autant dire des informations que le voyageur moyen n'est pas sensé savoir... Il existe heureusement un catalogue appelé "Trains at a glance" présentant les correspondances principales. A acheter dès son arrivée. Cela permet de choisir son train, puisque pour le même trajet, les convois peuvent mettre un temps radicalement différent pour le parcourir.

La magie du voyage, une rencontre extraordinaire à Kalamaki - Part 7 Roadtrip

 To go with the flow... Je prends la route de bon matin et continue de longer la côte qui devient de plus en plus construite en remontant en...

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