Je déambule dans les ruelles étroites, aux ambiances différentes suivant le-dit quartier.
Puis je me trouve face au mur des lamentations. Juste derrière celui-ci, la mosquée, haut lieu de pélerinage musulman. C'est étonnant!
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Le mur donc. Les hommes s'en vont d'un côté, le plus grand espace et les femmes d'un autre. Comment decrire cette intensité, cette énergie. Le front appuyé contre les pierres, les unes prient, les autres pleurent, marmonnent, cherchent un espace dans le mur pour y coincer un bout de papier et sa prière. J'en vois des qui se balancent, la bible sur le nez (ça, c'est presque effrayant et n'ai pas sans me rappeler certains autistes...).
Quelle ferveur! Les croyances sont fortes, c'est indéniable. Que l'on soit adepte ou non, cela a finalement peu d'importance, elles sont là, palpables, elles existent. Ce qui me fait penser qu'il sera difficile de mettre un terme au conflit qui habite ce pays.
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