En route pour
Je voyage avec Johannes et Mark rencontres precedemment a
Nous partageons donc la chambre a trois. Au beau milieu de la nuit alors que j’etais profondement endormie, j’entends de gros coups portes a la porte, la notre. Je ne vais pas me lever, esperant que ce soit une erreur et que cela s’arrete. Mais j’entends tout d’un coup “Police, police, swiss, swiss”… Mais, mais.. c’est moi!
La, je ne suis pas du tout rassuree et bien decidee a ne pas aller ouvrir du tout. Mark, saute neanmoins de son lit et part ouvrir de son cote. J’ai juste le temps me couvrir decemment (il fait toujours aussi chaud!) et ne suis pas sure que le loongi autour du corps soit suffisant ici bas pour me presenter face aux cinq policiers qui debarquent mainteant dans notre chambre. Ils n’ont pas l’air commode du tout et continuent de crier “swiss, swiss…” sous nos regards endormis, apeures et qui ne comprennent pas. Lorsqu’enfin je responds ‘yes, swiss”. Ils me devisagent et font un signe de la main qui arrete l’incident la.
Nous n’avons rien compris. Mais j’ai eu tres peur. Je me suis demandee si sachant qu’il y avait une femme blanche dans le coin, cette gente masculine avait dans l’idee de venir voir ce qu’il en etait mais ne comptait pas sur la presence de deux autres males dans la piece… Ou sont-ils a la recherche d’un autre Suisse enlise dans quelques eaux troubles. Ou encore est-ce lie au fait d’etre dans une zone militarisee… Nous ne saurons jamais. Le staff de l’hotel etait tout desole de ce desagrement mais nous comprenons bien aussi que ce n’est absolument pas de leur faute…
On the way to Rawalpindi, I am subjugate by the good state of the road. There are 2 lanes for every side and no potholes, sand of inversed traffic, a real highway.
Tickets en poche pour le lendemain soir, nous retournons en ville afin de visiter les ateliers pour les camions pakistannais. Il faut le savoir, ici, decorer son camion semble etre la chose a faire. Et c’est pour notre plus grand plaisir car ils sont simplement superbes. Ils appliquent des planches en bois peintes et dotees de grelots sur les flancs du camion. Je les entendrais souvent sur la route par la suite. Lorsque le capot est ancient, ils ont encore plus de chien. C’est chaque fois un vrai plaisir de les voir passer dans un nuage noir…
Nous rencontrons un pakistannais qui nous menera aux ateliers. Nous passerons toute la fin de l’apres-midi en sa compagnie et il nous aura bien faciliter la tache. Il nous raccompagnera meme a notre hotel le soir venu.
Nous nous donnons rdv le lendemain pour aller visiter
A l’heure convenue neanmoins, notre ami manque notre rdv. Nous attendons deux heures de plus sans succes. Nous partons donc de notre cote sur
Nous passons donc le reste de la journee ensemble a visiter une importante mosque appelee Shah Faisal, un parc ou les gens viennent se poser au vert et ayant une vue sur la ville. Puis nous retournons dans nos quartiers avant notre imminent depart pour l’Himalaya. Un trajet de quelques vingt heures nous attend.
* * *
We meet a Pakistani guy who takes us to the workshops. We spend the entire afternoon with him and he helps us a lot. He even bring us back to our hotel when the night has come. We fix a rdv for the following day to visit Islamabad.
But when time comes, our friend doesn’t show up. We wait for him another two hours without any success. We decide to leave ourselves to Islamabad, located a few kms away. We are looking for an ATM to get some money as it is not gonna be possible once we get in the north. And who is coming to meet us? Our friend of the missing rdv! He find us three hours later, oriented by the guest house staff! Amazing!
We spend the rest of the day together and visit an important mosque :
A parc where people get to find some green and which has a panoramic view on the city. We finally go back before our imminent departure for the Himalaya. A ride of twenty hours awaits us…
La gentillesse des Pakistanais nous rappelle celle des Iraniens, ainsi que la réaction "dites bien que..." Les vrais musulmans, pas les fous, sont très sympathiques, parce que sincères : l'hôte est sacré. Nous sommes loin de notre petite chrétienté béni oui-oui.
RépondreSupprimerAmitiés
Daniel & Annie